Une Grosse Nouille Nommee Benoit Ep 04 : C'Etait Pas Les Soldes
UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT
EP 04 : C'ETAIT PAS LES SOLDES
Le lendemain j'étais un peu fatigué
On était dimanche, j'entendais du bruit dehors, les volet étaient fermés et j'étais surpris qu'il y ait autant de bruit, ça discutait
ça discutait
En pleine nuit mais c'est pas possible ça ! Tout le monde m'avait dit qu'à la campagne c'était calme
Je regardais mon réveil, il était une heure du matin ! Mais c'est quoi ce bled, il y en a qui discutent à une heure du matin
Au fait je suis rentré à quelle heure moi ?
Je me décidais à aller voir ce qui se passait
Ça venait du côté jardin
Il y a des gens dans le jardin ! Bein voilà autre chose !
J'ouvrais les volets et
La vache, c'était violent ! La lumière était violente, il faisait grand jour. Finalement il était treize heures du matin ! Je me jetais sur les lunette de soleil d'urgence et ça allait mieux !
Nadine : Ça y est ! Il se réveille !
Hélène : Mais dis donc, c'est qu'il devient matinal ?
Étienne : Tu as bien dormi bonhomme ?
Ils préparaient un barbecue, et ils espéraient que le bruit de leur discussion allait me réveiller
C'est ce qui s'était passé
Il faut dire aussi qu'il y avait deux filles ! Et c'est vrai que je n'avais pas entendu de voix masculine ! A la maison j'ai bien quelques copines qui font encore plus de bruit quand elle jacassent mais ce ne sont pas vraiment des filles en fait !
Moi : Mais pourquoi vous faites tout ce bruit en plein milieu de la nuit !
Nadine : Mon pauvre petit bébé, tu as passé une mauvaise nuit
Ou alors elle était trop bonne ?
Moi : M'appelles pas bébé ça te vieilli ma Nana !
Nadine ! Conasse ! Tu t'habilles et tu descends tout de suite on va passer à table ! ( d'un ton très sec )
Moi : Moi aussi je t'aime
J'arrive ! ( avec une toute petite voix par contre )
Je passais rapidement sous la douche, jetais mes vêtements de la veille dans la machine à laver, m'habillais, me faisait beau et descendait les escaliers avec légèreté
Étienne s'affairait autour du barbecue, c'est une truc de mec ça, tout le monde sait ça ! Les filles discutaient, préparaient la table, la salade et papotaient , papotaient
Ça c'est un truc de fille tout le monde sait ça aussi.
J'arrivais tout beau, tout propre
C'est vrai ça, ils se moquaient tous de moi hier parce j'avais plusieurs valises mais j'en suis déjà à ma quatrième chemise et mon troisième pantalon depuis hier après midi
On a la classe ou on ne l'a pas
Moi je l'ai ! J'avais bien sûr mis des chaussettes et de jolis petites chaussures assorties à la couleur de mon pantalon.
On passait à table !
Étienne : Vous verrez les filles, c'est un endroit charmant, il y a un lac, une toute petite cabane, on peut y dormir mais le mieux c'est de dormir sous la tente
Moi : Mais c'est quoi cette histoire, dormir sous la tente, il y a des bêtes
Mais pourquoi tant de haine ?
Étienne : Excuse-moi Benoît mais c'est pas pour toit que je parlais.
Moi : Tu avais dit les filles !
Hélène et Mathilde pouffaient de rire, Étienne poussait un grand soupir !
Hélène : C'est l'endroit dont tu m'avais déjà parlé ?
Étienne : Exactement ! C'est un endroit magnifique, calme, il n'y a pas de circulation. Tu as un chemin qui quitte la départementale, puis il se ramifie et au bout, environ dix kilomètres plus loin on y est
Moi : Je peux poser une question ?
Étienne : Oui le téléphone passe !
Moi : Cool !
Tout le monde continuait à discuter sans plus s'occuper de mon intervention
Finalement ce qu'il nous décrivait n'avait rien de tentant
Un air pur, là j'ai un peu peur, c'est que je suis pas habitué moi, c'est un coup à faire de lasthme ça.
Étienne : Vous verrez les filles, on peut faire des ballades, de la pèche, il y a des barques, du surf, on peut se baigner, on peut même rester à poil si on veut !
Moi : J'en fait partie !
Ils se retournaient tous vers moi.
Moi : Bein quoi ? J'aime ces partie de campagne, dormir sous la tente, regarder le ciel étoilé
en savourant une flûte de champagne
Et tout ce qu'il nous décrit là est absolument fabuleux !
Nadine : Quoi ! Toi sous la tente, j'aurais jamais cru que j'entendrais un truc pareil dans ma vie !
Moi : Mais tu me connais bien mal ma pauvre Nadine. Je suis un warrior moi !
Nadine : Tu parles ! Je me souviens du jour ou tu as trouvé un lézard dans ton lit
Pour peu tu aurais appelé les pompiers
Moi : Moque toi ! C'est ça mais je te rappelle que j'étais jeune et sensible à cette époque !
Nadine : C'était il y a cinq ans ! Sensible oui ça je veux bien tu es chatouilleux c'est tout !
Moi : C'est ça moque toit ! Mais je suis un warrior moi tu peux pas dire le contraire :
Nadine : Bon là je ne dis pas, il y a un certain potentiel !
Étienne : ( il rigolait ) Tu m'en diras tant !
Hélène : Si, si, je confirme ! Tu ne l'as jamais vu dans un magasin de fringue pendant les soldes
La ça fait peur !
Je relevais fièrement le menton et mordait dans ma merguez avec voracité. Je me faisais une tache ! Bon je vais quand même attendre la fin du repas pour aller me changer ! Étienne continuait à nous raconter sa cabane près de son lac et rapidement je rêvais. Je me voyait à l'avant de la barque, Étienne juste derrière moi qui me montrait comment on fait pour ramer
Je me penchais vers la poupe
euh
La proue
Je sais plus
Je me penchais donc vers l'avant de la barque, j'écartais les bras pour donne un effet solennel et hurlait '' Je suis le maître du monde '' ! J'ai vu ça au cinéma ! Bon le bateau était plus grand mais
On fait avec ce qu'on a ! Étienne me retenait, les mains passées autour de ma ceinture, il pausait son menton sur mon épaule et me susurrait à l'oreille
Étienne : Eh, les filles regardez l'autre nouille il est encore en train de rêver
On ne se connaît que depuis deux jours et déjà il me parle comme tous mes vieux copains et copines des deux sexes
Il est vraiment sympa Étienne !
Moi : Oui et bien les filles, il n'empêche que votre truc moi j'en fais partie, ça m'a l'air trop chouette, je veux y aller !
Nadine : Bon si tu y tiens j'ai rien contre !
Hélène : Moi pareil !
Moi : Et toi Étienne tu ne dis rien ?
Étienne : Tu avais dit les filles
Nadine : Bon mais si tu viens tu voyage léger.
Moi : Pas plus de six valise je dois pouvoir y arriver !
Nadine : Un sac à dos
C'est tout !
Moi : Oui mais non c'est pas possible
Je
Nadine : Non !
Moi : Et si on
Nadine : Non !
Moi : Peut être que
Nadine : Non !
Mois : Oui mais
Pffffr
C'est pô juste
Nadine : C'est ça ou rien !
'' Mais pourquoi j'ai voulu y aller moi aussi ? Maintenant si je change d'avis je vais encore passer pour je sais pas quoi ! Je ne leur donnerai pas ce plaisir ''
Et je décidais donc d'y aller quel qu'en soit le prix !
Étienne : Tu as tout ce qu'il faut ?
Moi : Je voyage léger mais j'ai tout de même largement l'essentiel !
Étienne : Je parlais de l'équipement pour le camping !
Moi : Vous trouviez que j'avais trop de valise et il aurait en plus fallu que j'emporte une tente
Étienne : ( Il se retournait vers les filles ) Je renonce
!
On terminait la journée en écoutant Étienne qui nous racontait comment ça se passait
Pas de télé, pas de Wi-fi, pas de 4G, même pas l'électricité
Ça voulait dire
Mais pourquoi je me suis porté volontaire moi ? Il faut que je trouve une ruse pour pouvoir renoncer sans passer pour une fille indécise ... Et si je tombais malade ? Je pourrait me casser une jambe
Mouais, j'ai déjà essayé une fois et ça n'a pas marché
Je me souviens qu'à l'époque Nadine a juste eu à me menacer de me donner une claque et je me suis sauvé en courant
La supercherie était découverte ! Je ferais mieux de simuler un truc plus simple comme je sais pas moi
Il y a truc qui est terrible, il serait bien obliger de prendre ça au sérieux
On a la tête qui gonfle et je ne sais plus quoi
En tout cas c'est sérieux ça s'appelle la myxomatose je crois
Finalement, les filles étant occupées le lendemain, on décidait que ce serait Étienne qui m'accompagnerais pour m'acheter un équipement complet
Bon d'accord il avait dit
'' Je renonce ! '' mais c'était juste pour rire, j'en suis sûr, il y a plein de personnes qui me disent ça tout le temps
Le lendemain matin on prenait donc la route dans la voiture d' Étienne, je m'étais habillé pour l'occasion en vert, on est champêtre ou on l'est pas.
Au magasin, on était arrivé à une heure calme
Étienne : Tu as des chaussures de marche ?
Moi : Euh
?
Étienne : Bon il t'en faut une paire
''Des chaussures de marche, il veut dire quoi là ? Les chaussures ça sert avant tout à marcher
Pfff
Il ne se moquerait pas une peu là ?''
Jessayais une paire de ces chaussures. Ouai ! Super elles étaient chouettes, pas tout à fait mon genre, c'était des grosses chaussures qui remontaient bien sur les chevilles, avec de grosse semelles
C'était
Comment dire
Des chaussures de mecs
Avec ça aux pieds je me sentais
A l'intention du vendeur
'' Vous voudrez bien m'en mettre trois paires comme ça s'il vous plais ? '' Étienne me regardait l'air étonné !
Le vendeur arrivait avec plusieurs pantalons de différentes tailles.
Le vendeur : Je vous en ai emmené plusieurs pour que vous puissiez les essayer
Il m'accompagnait à la cabine et distraitement y entrait avec moi
Lui : Dites moi c'est pas vous que j'ai vu samedi soir à la ''Soupape du plombier'' ( c'était la boite de nuit ) ?
Moi : Si j'y étais, et tu m'a remarqué !
Lui : Oui j'ai tout de suite remarqué ton allure !
Moi : Tu m'a vu à quelle heure ? (un peu inquiet j'espérais que c'était pas au moment ou je sortait de la chambre noire) ...
Lui : Je suis arrivé tard, et à cette heure tardive tu étais le seul encore très présentable, chemise impeccable, pantalon propre et même pas froissé.
'' Ouf ! ''. Plus tôt pendant un moment je n'avais pas la même allure mais il était arrivé au bon moment ! Il s'approchait de moi.
Moi : Il est infroissable !
Je m'approchais de lui.
Lui : Tu présentais tellement bien que je ne voyais que toi !
On se touchait.
Moi : Il faut savoir bien présenter en toute occasion.
Ma main touchait la sienne, il verrouillait la cabine, nos lèvres se frôlaient, se touchaient, se collaient l'une à l'autre
Je sentais sa main dans mon dos qui me tirait vers lui. Je ne résistais pas et le tirais ver moi. La seconde suivante nos baisers étaient aussi chauds et passionnés que soudains. Quelques minutes plus tôt, je ne le connaissais pas et là je sentait sa chaleur, je sentais un corps compacte, je sentais ses bras qui me serraient fort. C'est une étreinte que je lui rendais !
On se serrait l'un contre l'autre, ma chemise ouverte présentait moins bien d'un coup, je le couvrais de baisers sur le torse et déjà commençais à glisser mes mains dans son pantalon, sur ses fesses. Il se laissait faire le bougre et me couvrait également de baiser. L'un repliait les jambes pour se baisser et embrasser le torse de son partenaire, puis se relevait, l'autre prenais le relais ! Il glissait sa main dans mon pantalon mais pas sur mes fesses
Il ouvrait en même temps les bouton de mon pantalon qui tombait. Rapidement il se mettait à genoux et me suçait la queue, je bandais ferme, j'avais commencé à bandé à la seconde ou il était entré avec moi dans l'isoloir
Pardon là je me trompe, ça c'était une autre histoire
Dans la cabine d'essayage donc, c'est ce que je voulais dire !
Il me suçait, j'appuyais sur sa tête. On agissait d'une manière frénétique, fébrile. On était pressé, on n'avait pas beaucoup de temps. Pendant qu'il me suçait il avait ouvert et baissé son pantalon. Je lui caressais les fesses, glissait un doigt entre ses fesses et lui massait doucement l'ouverture de son cul. Il gémissait de plaisir, il ne protestait pas, je lubrifiais mon doigt avec un peu de salive et le lui entrait dans le cul, directe, sans prévenir, il se raidissait mais il semblait apprécier.
Il ne faisait pas de bruit
On ne faisait pas de bruit
En dehors de cette cabine, la vie continuait, il y avait des clients qui passaient, il y avait ses collègues de travail qui continuaient à assurer les ventes. Peut être même, qui le cherchaient
Je lui tripotais les couilles et le branlait
Jolie petite bite bien proportionnée, bon pas si petite que ça. Je le suçais un moment et facilement elle entrait en entier dans ma bouche. Elle était belle sa queue et si seulement elle avait fait vingt centimètres de plus elle aurait été très satisfaisante pour mon goût
Enfin quand je dis vingt centimètres
Dix centimètres auraient déjà donné un énorme calibre
Mais bon c'est que je suis une grosse gourmande moi !
Il se retournait et faisait face au mur et me disait
'' Encule moi !''. Je suis un garçon qui aime bien rendre service aussi je m'exécutais sans plus attendre
Je me plaçais juste derrière lui, me lubrifiais et sans prévenir lui enfonçais ma queue en entier dans le cul. Il la sentais passer, je suis nettement plus balaise que lui. Un instant j'ai cru qu'il allait gueuler aussi par réflexe je posait ma main sur sa bouche et rapidement lui limait le cul, sans ménagement, sans violence mais avec fermeté, avec vigueur
Bon je suis du genre à toujours vouloir faire plaisir et c'est lui qui me l'avait demandé !
Il respirait fort mais se retenait de faire du bruit. Il soufflait fort, pas trop j'espère
Mais à ce moment je dois vous avouer qu'on avait oublié de s'en préoccuper. Le magasin était presque vide et comme le patron était absent les employés avait mis la musique plus fort que d'habitude, ça nous arrangeait !
Je respirais fort également et me retenais aussi de gémir ou de gueuler comme je le fais d'habitude
Et non ! En fait c'est quand je me fais défoncer le cul que je gueule quand c'est moi qui défonce j'arrive à me retenir
Mais quand je me fais défoncer le cul je ne vous dis pas, là oui, je gueule, je braille, on m'entend de loin, je ne suis pas du genre discrète moi ! Oui bon excusez moi, c'est pas de moi qu'il s'agit là !
Je le limais sans me retenir, j'avais bien l'intention de ne pas en rester là et il n'était pas question que je le lâche avant d'avoir lâché la sauce. Je ne me retenais plus, ma main toujours sur sa bouche l'empêchait de crier et je crois qu'à ce moment il n'aurait pas pu se retenir. Il passait une main dans son dos, comme pour me repousser, pour calmer mes mouvements
Je ne m'en occupais pas et continuais avec toujours autant de force.
Je sentais le plaisir monter, mes mouvements devenaient plus amples mais pas moins violents et c'est dans des cris retenus que je jouissais dans son cul, il tremblait quand je lui donnais les derniers coups de rein. Je me retirais, il me passais quelques serviettes en papiers, on s'essuyait, il se rhabillait. Il avait bien choisi son métier de vendeur de vêtements, en quelques secondes il était à nouveau tout à fait présentable et plus rien de paraissait. Discrètement il glissait la tête sur le palier
Euh , je crois que là encore c'était une autre histoire
Il glissait don la tête hors de la cabine d'essayage, il n'y avait personne, il sortait en me disant. '' Je te laisse essayer les pantalons, je t'emmène les chemises et tout le reste
Au fait moi c'est Laurent ! ''
'' Moi c'est Benoît
''
'' Enchanté
''
'' Pareil
''
Je restais dans le placard encore un long moment
Euh
Placard, non là encore je confond c'est une autre histoire
Laurent m'apportait les autres parties de la combinaison du parfait petit campeur bien dans son temps
Je retenais les vêtements que je voulais, pantalons, chemises, coupe vents, tenues pour la pluie etc
Quand je finissais par ressortir j'avais une pile de vêtements choisis dans les bras. Je laissais les autres dans la cabine d'essayage. J'allais vers Laurent qui me regardait venir avec un grand sourire !
Moi : Tu pourrais m'en mettre trois exemplaire de chaque mon petit Laurent tu serais mignon.
Laurent : C'est comme si c'était fait ! Chapeau, casquette ?
Moi : Oui bien sûr !
Il me regardait d'un air interrogateur ?
Moi : Mais les deux ! Chapeau et casquette !
Il partait chercher toute la marchandise !
Étienne arrivait !
Étienne : Mais tu étais ou, je te cherchais partout ?
Moi : Je choisissais mon équipement !
Étienne avait l'air incrédule en voyant arriver le vendeur les bras chargés
Laurent rangeait tout avec soin dans des sacs
Je payais, j'en prenais un puis faisait la bise à Laurent et enfin ressortait du magasin après l'avoir salué et appelé pas son prénom
Étienne s'était senti obligé de prendre les autres colis, il avait les bras chargés le pauvre.
Étienne : Mais c'est pas vrai ! Mais c'est pas vrai ! Non j'y crois pas ! Tu es encore pire qu'Hélène quand elle fait les courses toi !
Moi : Et encore tu as de la chance
C'était pas les soldes !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!